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Cheatography

Génétique SBI4U Cheat Sheet by

Unité de génétique, SBI4U

Noms

Mendel
Concept des gènes dominants et récessifs
Miescher
Découverte de la nucléine, partie acide (acide nucléique) et partie alcaline (protéine)
Levene
Chaque molécule contient un sucre, une base azotée et un groupement phosphate
Chargraff
Règle de Chargraff: ratio 1:1 pour A/T et C/G
Rosalind & Wilkins
Découvrent que les bases azotées sont hydrop­hobes et à l'inté­rieur de la structure
Watson & Circk
Découverte de la relation des bases azotées avec des ponts hydrogène

Protéines

Rôles
Protec­tion, régula­tion, mouvement, transport, énergie, influx nerveux, enzymes, structures

Code génétique

Codon
Chaque groupe de trois nucléo­tides ont les instru­ctions pour faire un acide aminé/­pro­téine
 
Les codons de l'ARN sont écrits dans le sens 5'-3'
Stop
UAA, UAG, UGA
Start
AUG

Mutations

Une mutation est une modifi­cation de l'ADN.
Causes
Agents mutagènes physiques: radiation, rayons-x, particules radioa­ctives
Agents mutagènes chimiques: goudron de tabac, moisis­sures
Virus et chaleur
Types de mutations
Ponctu­elles
Substi­tution d'un nucléotide par un autre. Peut être silencieux ou non-sens (un codon devient un codon stop)
Insertion d'un ou plusieurs nucléo­tides (frame­shi­fting)
Délétion d'un ou plusieurs nucléo­tides
Insertion et délétion sont désast­reux, car:
-tous les nucléo­tides sont changés, donc mutation = décalage du cadre de lecture
-cassure d'un chromosome = létales
-insertion d'une partie d'un chromosome sur un autre
-inversion d'ADN
-perte ou copies supplé­men­taires de chromo­somes

Régulation de l'expr­ession génétique

La régula­tionde l'expr­ession génétique détermine si un gène est actif ou non, son niveau d'activité et la quantité de protéines dispon­ibles dans la cellule. Les gènes domest­iques sont dans toutes les cellules.
Procar­yotes
 
Durant l'init­iation
 
Durant la transc­ription
 
Après la synthèse des protéines
Eucaryotes
 
Avant la transc­ription
 
Pendant la transc­ription
 
Après la transc­ription
 
Pendant la traduction
 
Après la traduction
Opéron: tous les gènes qui partic­ipent à une voie métabo­lique, rassemblés et contrôlés par un promoteur. Seulement dans les procar­yotes (pour le moment) Ex. opéron LAC.

La génétique en labora­toire

On utilise les gènes marqueurs pour étudier la régulation des gènes. On ajoute ce gène pour mieux suivre les événements de transf­orm­ations généti­ques.
Les gènes marqueurs doivent êtres étrangers au génome, doivent produire une visual­isation rapide et précise et le produit doit être quanti­fiable afin de mesure l'activité du promoteur.
Les enzymes de restri­ctions sont présents chez les bactéries, et peuvent couperdes séquences spécif­iques de l'ADN. Ils sont utilisés pour insérer de l'ADN exogène (étranger au génome) dans l'ADN. Cet nouvel ADN se nomme l'ADN recomb­inant.
Le clonage des gènes chez les bactéries se font avec les plasmides, un ADN circulaire d'origine synthé­tique ou bactér­ienne. Ces sites sont reconnus pas les enzymes de restri­ctions, permettant d'intr­oduire du nouvel ADN.
Étapes de transfert de gène dans un plasmide
On extrait les plasmides des bactéries, puis une enzymes de restri­ction ouvre les plasmides.
On extrait le gène à greffer avec cet même enzyme de restri­ction, puis on mélange des copies du gène avec des plasmides. Une enzyme ligase fusionne les brins d'ARN.
Les plasmides sont ensuite réintr­oduits dans la bactérie, puis le gène se reproduit quand la bactérie se reproduit.

La génétique en labora­toire

On utilise les gènes marqueurs pour étudier la régulation des gènes. On ajoute ce gène pour mieux suivre les événements de transf­orm­ations généti­ques.
Les gènes marqueurs doivent êtres étrangers au génome, doivent produire une visual­isation rapide et précise et le produit doit être quanti­fiable afin de mesure l'activité du promoteur.
Les enzymes de restri­ctions sont présents chez les bactéries, et peuvent couperdes séquences spécif­iques de l'ADN. Ils sont utilisés pour insérer de l'ADN exogène (étranger au génome) dans l'ADN. Cet nouvel ADN se nomme l'ADN recomb­inant.
Le clonage des gènes chez les bactéries se font avec les plasmides, un ADN circulaire d'origine synthé­tique ou bactér­ienne. Ces sites sont reconnus pas les enzymes de restri­ctions, permettant d'intr­oduire du nouvel ADN.
Étapes de transfert de gène dans un plasmide
On extrait les plasmides des bactéries, puis une enzymes de restri­ction ouvre les plasmides.
On extrait le gène à greffer avec cet même enzyme de restri­ction, puis on mélange des copies du gène avec des plasmides. Une enzyme ligase fusionne les brins d'ARN.
Les plasmides sont ensuite réintr­oduits dans la bactérie, puis le gène se reproduit quand la bactérie se reproduit.
 

ADN

 
Acide Désoxy­rib­onu­cléique
 
Chaines sont complé­men­taires (A et T, C et G) et antipa­ral­lèles (une est 3'-5', l'autre est 5'-3')
Bases azotées
Adénine & Thymine
 
Cytosine & Guanine
Ponts phosphates
Lient les rampes
Liaisons hydrogène
Liaisons entre les paires de bases
Retrouvé dans le noyau, constitue le matériel génétique, dirige la synthèse de protéines, et se réplique avant la division cellulaire

Organi­sation de l'ADN

Réplic­ation de l'ADN

Initiation
1. ADN hélicase
Sépare les deux brins pour former une bulle de réplic­ation
2. SSB proteins
Ces protéines fixatrices empêchent les brins de s'enrouler
3. Topois­omérase II
Se place devant la fourche de réplic­ation et réduit la tension créée par l'hélicase en déroulant l'ADN
4. Primase
Synthétise une amorce d'ARN au début de la fourche. Sert de point pour une autre enzyme, ADN polymérase III
Élongation
5. ADN polymérase III
Regroupe les nucléo­tides avec leurs bases complé­men­taires (A/T, C/G)
6. Brin discontinu
Le brin 3'-5' se fait assembler par l'ADN polymérase III de l'autre côté, en fragments nommés "­fra­gments d'Okaz­aki­"
Termin­aison
7. ADN polymérase I
Remplace les ribonu­clé­otides des amorces par des désoxy­rib­onu­clé­otides, donc le brin d'ARN devient un brin ADN
8. ADN ligase
Rattache les segments d'Okazaki
9. Double hélice
Automa­tiq­uement, les brins se s'enro­ulent en double hélice
Vérifi­cation et correction
10. ADN polymérase III (enzyme de correc­tion)
Vérifie les liaisons hydrog­ènes. Pas de liaison = mauvaise base, coupe cette base et la remplace par la bonne
12. Enzyme de réparation
Remplace les bases perdues nature­llement par le corps
L'ADN polymérase lit dans le sens 3'-5', mais relie dans le sens 5'-3'. L'ADN polymérase I ne peut pas commencer au début de l'ADN, donc il y a des télomères (zones tampons) qui sont perdues afin d'éviter la perte de matériel génétique important.

Enzymes

Hélicase
Coupe et déroule ADN
Protéines SSB
Empêche les brins de se renrouler
Topois­omérase II
Réduit la tension créée par l'hélicase
Primase
Synthétise une amorce d'ARN, déclenche l'élon­gation
ADN polymérase III
Ajoute les nucléo­tides (extrémité 3') et vérifie que les bases sont corres­pon­dantes
ADN polymérase I
Défait l'amorce ARN, vérifie que lesb ases sont corres­pon­dantes
ADN ligase
Catalyse formation des ponts phosphates entre nucléo­tides; unit les fragments d'Okazaki
 

ARN

 
Acide ribonu­cléique
 
Un seul brin, nucléo­tides reliés par ponts phosphates
ARNt
ARN de transfert
ARNm
ARN messager
ARNr
ARN riboso­mique
Retrouvé dans le cytopl­asme, exécute les instru­ctions génétiques pour synthé­tiser les protéines

Transc­ription de l'ARN

Initiation
 
Le promoteur sur le brin d'ADN permet l'atta­chement de l'ARN polymé­rase. On l'appèle la boîte TATA à cause qu'elle est riche en adénine et thymine.
 
La boîte TATA détermine le début de la transc­ription et quel brin sera codé. La liaison ADN/ARN permet d'ouvrir la douvle hélice et de catalyser l'inse­rtion des ribonu­clé­otides pour former un brin ARN.
 
Le brin est un transcrit primaire, complé­men­taire et antipa­rallèle du brin d'ADN. L'ARNm s'allonge à l'extr­émité 3', et la polymérase fait la lecture 3'-5'.
Élongation
 
L'ARN polymérase lit le brin ADN non codant (template strand) de 3'-5', et créée l'ARN 5'-3'.
L'info­rmation pour la synthèse des protéines se retrouve dans le noyau, mais la synthèse arrive dans le cytopl­asme. L'ADN ne peut pas sortir du noyau, donc on copie l'info­rmation sous forme d'ARN

Élongation

Transc­ription de l'ARN (continué)

Termin­aison
 
Ce processus continue jusqu'à ce qu'il rencontre un signal de termin­aison. Le transcrit s'appèle le précurseur de l'ARNm.
Maturation
 
L'extr­émité 5' est équipée d'une nucléotide G modifiée (coiffe), qui protège l'ARNm de la dégrad­ation des enzymes
 
L'extr­émité 3' a une chaine de nucléo­tides A, nommée queue poly-A, qui protège l'ARNm de la dégrad­ation des enzymes
 
Le ribosome s'attache à la coiffe et la queue et forme un complexe circul­aire.
Épissage
 
Introns : séquence non codante (intrus)
 
Extrons : Parties codantes
 
Pendant la transc­rip­tion, introns et exons sont copiés en ARNm. On les excise avec le splice­osome, qui reconnait certaines séquences des introns.
 
L'ARN produit est plus court et devient un ARNm ou ARNm mature.

Traduction de l'ARN

 
La synthèse de protéines se font dans les ribosomes. Ceux-ci sont constitués de deux sous-u­nités, une grande et une petite, avec 40% de protéines et 60% d'ARNr.
 
Chaque ribosome a un site de liaison pour le transcript d'ARNm, un site P (retient l'ARNt en la chaine en format­ion), A (retient l'ARNt porteur du prochain acide aminé en formation) et E (libère les molécules d'ARNt)
 
ARNt: brin d'ARN qui se replie pour former une structure 3D. Son extrémité 3' peut se lier à un acide aminé. Ils ont des antico­dons, une zone formée de trois nucléo­tides qui peuvent de lier à l'ARNm
Initiation
 
La molécule d'ARNm passe du noyau au cytoplasme
 
La petite sous-unité reconnait la séquence AUG (start) sur l'extr­émité 5' de l'ARNm. L'ARNt méthionine ayant l'anti­codon UAC se lie aussi au complexe riboso­mique de l'ARNm. Ceci se lie au complexe riboso­mique de l'ARNm.
Élongation
 
Les trois bases de l'anti­codon du complexe ARNt + aa s'appa­rient avec le codon corres­pondant sur le second site (site A).
 
Vérifi­cation des liens hydrogènes entre codon et anticodon. Les deux aa forment maintenant une liaison peptid­ique.
 
La chaine polype­pti­dique est transférée de l'ARNt du site P à l'ARN du site A, avant un décalage de trois codons (trans­loc­ation) du ribosome.
 
Ces étapes se répètent jusqu'à un codon STOP.
Termin­aison
 
Lorsque le ribosome atteint un codon stop, une enzyme (facteur de termin­aison) s'y fixe et ajoute une molécule d'eau au lieu d'un aa, ce qui détache la chaine de polype­ptides. Le ribosome se sépare ensuite en deux.
START: AUG
STOP: UAA, UAG, UGA
   
 

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